Pour faire le point sur ces enjeux cruciaux, Les Ami.e.s de l’Université organisent une conférence-débat autour du thème :

« Autonomie et souveraineté alimentaires à La Réunion : Où en est-on réellement aujourd’hui ? »

L’événement sera animé par Bernard Pade, apiculteur, permaculteur et citoyen engagé dans la préservation du Vivant.

Depuis plusieurs années, il œuvre notamment au sein d’OASIS RÉUNION, une initiative qui sensibilise les Réunionnais aux enjeux de résilience alimentaire, d’agroécologie et d’autonomie vivrière.

Pourquoi cette conférence ?

Parce qu’il est essentiel de réfléchir ensemble à des modèles de production et de consommation plus durables, plus locaux, et respectueux de l’environnement. Parce que l’autonomie alimentaire n’est pas un slogan, mais une nécessité stratégique, sociale et écologique pour notre territoire.

L’entrée est libre et ouverte à toutes et tous.

Venez nombreux pour écouter, poser vos questions, débattre, et construire ensemble une vision d’avenir pour notre île

Au Centre Culturel Départemental – Le Sud “Réunion de Cultures”

60, rue Victor le Vigoureux – Saint-Pierre

Suite à des recherches approfondies dans les archives jusqu'alors restées secrètes, l'institut INcyclopédique Universel a pu recueillir les premiers fragments d'une histoire du continent réunionnais avant le "grand rétrécissement" de 1946

Une tournée de conférences exceptionnelles qui fait suite à l'exposition présentée aux Archives départementales de La Réunion en 2018

Réservez au 06 92 91 01 48

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par Philip ANTIER, docteur en microbiologie industrielle. Coopérant au Mexique, il est responsable de 1989 à 1991 du laboratoire franco-mexicain de fermentation en milieu solide à l'Université Autonome de Mexico.

Ingénieur production puis chef de production à la sucrerie bourbon de 1993 à 1997 et directeur technique du groupe SOMDIA en Afrique centrale jusqu'en 2006.

Directeur Technique Amérique pour ED&F MAN de 2006 à 2018, puis spécialisé dans des procédés de raffinage du sucre avec plusieurs mises en service et audits de raffineries en Amérique, au Moyen Orient, en Afrique et Europe Centrale.  

Depuis 2020, il continue de donner son support technique aux sociétés d'ingénierie sucrière et aux groupes sucriers au travers de sa société GALABE Lda au Portugal.

Dans un monde où l'amour représente une forme de rébellion, chaque récit se transforme en un acte de résistance intime...

Conférence tout public

Cette seconde présentation a pour ambition d’étudier les grandes caractéristiques des intérieurs à la Réunion (traitement des murs, ornements et décoration naissance et le développement des lignes menuisées de sièges emblématiques de la Réunion au XIXe siècle  (fauteuils créoles).

Un premier focus détaillera les conditions d’émergence du goût de la couleur sur l’île, dès le milieu du XVIIIe siècle, et du traitement accordé à la lumière ambiante.
Cette attirance pour la couleur correspond à la grande quête du XVIIIe siècle, celle de la teinture dite de « grand teint ». L’île, propriété privée, a d’ailleurs joué un rôle pionnier dans cette quête en dépêchant des enquêteurs en Inde pour percer le secret de la pose des couleurs.
Ces dernières se déclinent selon plusieurs mediums (pigments, peintures, papier peint ou textile) qui envahissent et animent alors les mobiliers, les murs et les plafonds.

Un second focus complétera ce panorama en s’attardant sur les objets animant ces intérieurs (tableaux, estampes, miroirs objets d’éclairage etc.) et abordera également la mise en place de nouveaux usage liés à la table pour la prise des repas (mobilier et vaisselle).

Un dernier focus traitera enfin de l’influence des facteurs extérieurs qui ont facilité l’émergence de nouveaux modèles de sièges liés au repos.
La remise en cause des modèles baroques à la fin du XVIIIe siècle et les courants liés à l’anglomanie comme ceux du retour à l’antique facilitèrent la création de nouveaux modèles dans l’art du siège, à un moment où la mode était dictée par la France et l’Angleterre avec la diffusion de lignes menuisées novatrices, de leur relecture et de leur adaptation dans les anciennes possessions coloniales européennes disséminées sur la ceinture tropicale, notamment à la Réunion.
 

L’ameublement à Bourbon au XVIIIe siècle

Un premier focus s’attachera à circonscrire les conditions matérielles liées à la naissance de l’artisanat du meuble à la Réunion au XVIIIe siècle pour en dégager les grandes caractéristiques à travers les ressources naturelles, la notion d’outils et les savoir-faire disponibles.

Un second focus se contrera sur la notion de confort pour la garniture des cadres d’assise ou de couchage. Le recours au tressage de fibres naturelles végétales ou des lanières de peaux a permis l’émergence de solutions adaptées et variées qui ont perdurées jusqu’à nos jours au point de devenir indissociable du siège créole.   
Une abondante sélection iconographique permettra de saisir la diversité des solutions techniques et esthétiques.

Enfin un dernier focus permettra de comprendre la diversité typologique et qualitative de ces meubles à travers la circulation des modèles en présence.
Un large panorama visuel montrera la diversité de ces pièces, tant œuvrées sur place qu’introduites sur l’île : mobilier de repos (sièges et lits…), mobiliers de rangement et d’exposition (coffre, buffet, armoire, commode, bibliothèque…), tables et pupitres (bureau, table de nuit, table à travaux d’aiguille…).

La médiathèque Angelo Lauret (Grands-Bois) vous propose, samedi 01 juin, une journée spéciale généalogie !

e 10h30 à 12h, invité à présenter son livre “Généalogie des Lebon”, venez à la rencontre de Johny Lebon, puis poursuivez vos recherches grâce à la permanence du Cercle Généalogique de Bourbon de 13h30 à 17h.

Saint-Pierre Patrimoine, pôle du service culturel de la ville de Saint-Pierre vous propose une conférence avec café (ou thé) sur la plage le matin

"La faune disparue de l'Ile Mascarin" par Marcel Tipveau, guide conférencier

Gratuit mais places limitées !